PERSONNE N’EN SERA SURPRIS !
Les documents de travail du CTR convoqué le 9 décembre 2020 confirment bien la disparition en 2021 de 1 800 emplois à la DGFiP !!
L'intérêt du contrat d’objectifs et de moyens signé entre la DGFiP et la Direction du Budget est que nous connaissons le nombre de suppressions de 2022 : 1 600, volume minimum car il pourrait être revu à la hausse.
C’est devenu tellement naturel et ça dure depuis tellement d’années, que tout le monde ou presque s’est habitué. Les compteurs s’affolent dans une quasi-indifférence. Ceux des charges de travail continuent d’évoluer en sens inverse : la force de travail diminue alors que toutes les charges augmentent.
Nous redirons encore et encore que les suppressions d’emplois dogmatiques décidées par le(s) gouvernement(s) et validées par le(s) parlement(s) au fil des années sont la cause principale et centrale de toutes les restructurations, évolutions et dégradations des conditions de travail. Et l'on tente de cacher la misère par des néologismes tels que NRP ou des mensonges tels que relocalisations...
Solidaires Finances Publiques ne se présentera pas à ce CTR !
Nous avons dit et redit notre opposition aux orientations de la DGFiP et du pouvoir politique.
Les fusions, suppressions de SIE, les créations d’antennes voire une stricte concentration départementale, sont les sujets à l’ordre du jour dans les directions locales, démontrant clairement une volonté d'industrialisation néfaste.
Alors, revenons-en à l’essence même du syndicalisme, réunissez-vous autant que possible, si c’est possible ou quand ça le sera, débattez, avec vos représentant.es,collectivement, de la situation, mesurons-en ensemble la gravité, déterminons les revendications prioritaires, et décidez de ce que vous êtes prêts et prêtes à faire pour les faire aboutir.
LE SYNDICAT, AIGUILLON DES RÉSISTANCES, SERA À VOS CÔTÉS POUR LES FAIRE VIVRE ET LES RENDRE CONCRÈTES...
RÉFLÉCHIR, DÉBATTRE COLLECTIVEMENT POUR AGIR, RÉSISTER ET COMBATTRE :
RETROUVONS LA FORCE DU NOUS !
Pour nous joindre :
Télécharger le tract contre la disparition de nos emplois à la DGFIP