A la date du 10 avril, on comptabilisait 4 600 décès dans les EPHAD et établissements médico sociaux. Ces établissements, comme l'hôpital public, ont été sacrifiés sur l'autel de l'économie libérale et pour certains d'entre eux, la gestion est assurée par des grands groupes privés plus soucieux de rentablilité que de leurs pensionnaires. Malgré le dévouement d'un personnel qui lui aussi manque de cruellement de moyens, le capitalisme tue !
Les retraités sont sacrifiés texte de l'UNIRS