Depuis le début de l'état d'urgence sanitaire, et la mise en place du plan de continuité de l'activité (PCA) à la DGFiP, une des préoccupations principales des agent.es porte sur les congés.
Première audio post reprise, beaucoup de flou (c’est peut-être qu’il y a un loup), peu de réponses précises à des questions qui pourtant le sont, l’exercice devient de moins en moins pertinent et efficace.
La Direction générale a livré son plan de reprise d’activité (PRA). S’il donne un cadre national général, son adaptation locale concrète soulève d’ores et déjà de très nombreuses interrogations et risque bien de prendre la forme d’une usine à gaz pour l’ensemble des personnels.
A l’évidence, pour l’application du PRA, les cadres et les chefs de service vont être particulièrement sollicités. Ils auront à gérer un quotidien, déjà compliqué avant la crise, qui s’annonce évolutif dans un contexte inédit. Disons-le d’emblée, la tâche s’annonce ardue et la ligne de crête bien étroite. Le risque de dévissage existe.
Elle était presque totalement consacrée au plan de reprise d’activité. Si les notions de progressivité et de différenciation territoriale ont bien été rappelées, tant du côté syndical que de la part de l’administration, le sentiment d’un décalage quant à la signification concrète et matérielle de ces caractéristiques de la reprise ont bien été palpables.