Après une longue période dans laquelle les agents et les agentes ont été assommés
par la masse et la brutalité des réformes engagées.
Après une longue période contrainte à l’isolement, nous retrouvons un nouveau souffle.
Ce 5 octobre marque la reprise du mouvement social.
Éclatement du maillage territorial, missions en grave danger, conditions de travail déplorables, pouvoir d’achat piétiné...
Autant d’ingrédients qui, à la DGFIP, génèrent une colère sourde. Dans une période de reprise d’activité, la mobilisation se reconstruit, c’est ça et c’est déjà ça.
Au-delà des chiffres, ces colères ne s’expriment pas que dans une simple addition de logos mais bien dans une unité pugnace.
- Une unité indispensable face aux réformes qui viennent frapper tout le collectif DGFIP.
- Une unité relayant les légitimes revendications de tous les personnels.
- Une unité redonnant de l’espoir.
L’espoir lui, ne se confine pas, il se construit dans l’action, par le collectif.
Nous retrouvons aujourd’hui le chemin des luttes.