La journée du 23 novembre a été marquée par une forte mobilisation au rassemblement parisien et dans de nombreux rassemblements en région.

De nombreuses sections, venues de partout, ont pu exprimer leur mécontentement et la nécessité impérative de contrer la mort annoncée de la DGFiP.
Les personnels en grève et participant à ces manifestations ont fait preuve de détermination.
Devant Bercy, musique, animation théâtrale du procès de la fraude et de l'évasion fiscales et prises de paroles d'agents et de militants témoignant de leur quotidien, ont rythmé cet après-midi.
Pour Solidaires Finances Publiques, même si cette journée en termes de taux de grève (moins de 7%) n'est pas suffisante, les raisons qui l'ont motivée sont et demeurent légitimes :

  • suppressions d'emplois,
  • plan d'adaptation des structures au réseau (ASR),
  • comité d'action publique 2002 (CAP 22) qui risque d'engendrer une perte des missions dévolues à la DGFiP
  • deréglementation des droits et garanties des agents en termes de régles de gestion,
  • degradation des conditions de vie au travail,
  • non reconnaissance de la technicité des agents en adaptation perpétuelle ( baisse des volumes de promotions,...),
  • absence de revalorisation de la rémuneration,
  • mise en place d'une journée de carence.

Solidaires Finances Publiques dans les semaines à venir, continuera à aller vers les agents pour les écouter,  les informer, construire ensemble, un cadre d'actions qu'il souhaite le plus large possible.

Solidaires Finances Publiques ne lâchera rien !