Contre l’extrême-droite, pour la justice et l’égalité, pas de Le Pen à l’Elysée
Le renforcement électoral et militant de l’extrême-droite est lié aux politiques antisociales menées par les gouvernements successifs. Les gouvernements Macron n’ont fait qu’augmenter le désespoir et la pauvreté. Leurs politiques liberticides enferment la société dans une spirale sécuritaire. Elles ont été un tremplin pour l’extrême-droite.
Jamais Marine Le Pen, représentante de l’extrême-droite, ne sera une solution : elle fait partie du problème et ne fera qu’empirer la crise sociale et la crise écologique, parce qu'elle ne fait que désigner des boucs émissaires, génère et attise la haine, le racisme et la violence, tout en soutenant un système ultra-libéral qui dénie l’existence du réchauffement climatique.
L’héritage fasciste du Rassemblement National rappelle que l’extrême-droite n’est pas semblable au reste des partis politiques.
Solidaires ne se résigne pas à une victoire de Marine Le Pen et sera dans la rue pour dire non à l’extrême-droite, aux côtés d’autres organisations syndicales, associations, collectifs qui luttent pour la justice sociale, environnementale, féministe, l’anti-racisme, l’antifascisme, et pour les libertés publiques.
L’Union syndicale Solidaires appelle aux mobilisations organisées de façon unitaire partout sur le territoire, le samedi 16 avril pour contrer l’arrivée de l’extrême-droite au pouvoir.
appel au 16 avril de Solidaires
Communiqué de l'Union syndicale Solidaires
Appel unitaire:
350 associations, syndicats et collectifs ont signé ce texte unitaire pour de larges rassemblements et manifestations le samedi 16 avril autour d’un même appel : « contre l’extrême droite et ses idées, pas de Marine Le Pen à l’Elysée »
« Non » à l’extrême droite, pour la justice et l’égalité !
L’extrême droite est à nouveau présente au second tour de l’élection présidentielle, forte d’un niveau de voix jamais atteint. Nous refusons de la voir accéder au pouvoir.
Les causes en sont diverses et anciennes, elles ont été analysées et sont connues. Les responsabilités sont à chercher du côté des politiques ultralibérales menées depuis des années qui ont exacerbé les injustices et les inégalités sociales, enfoncé des territoires et des populations dans la précarité et le désarroi. Nos organisations les ont combattues, comme elles ont dénoncé les attaques portées contre les libertés. Elles les dénonceront encore demain, sans désemparer face à l’adversité.
L’urgence, aujourd’hui, c’est d’affirmer collectivement la force des idées et des valeurs qui nous rassemblent. Elles sont constitutives de la démocratie et totalement incompatibles avec la haine, la xénophobie, la démagogie nationaliste et la mise en opposition de tous contre tous que portent les mouvements d’extrême droite.
En rejetant Marine Le Pen, il s’agit d’empêcher l’avènement d’un projet de société destructeur de l’État de droit, de la république démocratique sociale et solidaire que nous défendons chaque jour. Il s’agit de dénoncer son programme trompeur qui frapperait durement les plus faibles, les plus démunis, les femmes, les personnes LGBTI ou étrangères.
Ensemble, nous voulons réaffirmer que la devise « Liberté, Egalite, Fraternité » doit, plus que jamais, rester à l’ordre du jour, pour toutes et tous, sans exclusive ni distinction. Dans la diversité de nos approches et formes d’actions, nous voulons construire un destin commun de justice sociale et environnementale autour de l’égalité des droits, par le débat démocratique, un dialogue social et civil renforcé, un État de droit qui garantisse pleinement nos libertés, une République laïque et solidaire, protectrice de l’arbitraire, riche de services publics confortés, reconnus, bénéficiant des moyens de leur pleine efficacité.
Cette ambition commune serait gravement mise en cause avec l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite.
C’est pourquoi, ensemble, nous invitons chacune et chacun à participer à de larges rassemblements populaires dans toutes les communes de France et à Paris, le samedi 16 avril 2022 autour d’un même appel : « « Non » à l’extrême droite, pour la justice et l’égalité !
L’extrême droite est à nouveau présente au second tour de l’élection présidentielle, forte d’un niveau de voix jamais atteint. Nous refusons de la voir accéder au pouvoir.
Les causes en sont diverses et anciennes, elles ont été analysées et sont connues. Les responsabilités sont à chercher du côté des politiques ultralibérales menées depuis des années qui ont exacerbé les injustices et les inégalités sociales, enfoncé des territoires et des populations dans la précarité et le désarroi. Nos organisations les ont combattues, comme elles ont dénoncé les attaques portées contre les libertés. Elles les dénonceront encore demain, sans désemparer face à l’adversité.
L’urgence, aujourd’hui, c’est d’affirmer collectivement la force des idées et des valeurs qui nous rassemblent. Elles sont constitutives de la démocratie et totalement incompatibles avec la haine, la xénophobie, la démagogie nationaliste et la mise en opposition de tous contre tous que portent les mouvements d’extrême droite.
En rejetant Marine Le Pen, il s’agit d’empêcher l’avènement d’un projet de société destructeur de l’État de droit, de la république démocratique sociale et solidaire que nous défendons chaque jour. Il s’agit de dénoncer son programme trompeur qui frapperait durement les plus faibles, les plus démunis, les femmes, les personnes LGBTI ou étrangères.
Ensemble, nous voulons réaffirmer que la devise « Liberté, Egalite, Fraternité » doit, plus que jamais, rester à l’ordre du jour, pour toutes et tous, sans exclusive ni distinction. Dans la diversité de nos approches et formes d’actions, nous voulons construire un destin commun de justice sociale et environnementale autour de l’égalité des droits, par le débat démocratique, un dialogue social et civil renforcé, un État de droit qui garantisse pleinement nos libertés, une République laïque et solidaire, protectrice de l’arbitraire, riche de services publics confortés, reconnus, bénéficiant des moyens de leur pleine efficacité.
Cette ambition commune serait gravement mise en cause avec l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite.
C’est pourquoi, ensemble, nous invitons chacune et chacun à participer à de larges rassemblements populaires dans toutes les communes de France et à Paris, le samedi 16 avril 2022 autour d’un même appel : « contre l’extrême droite et ses idées, pas de Marine Le Pen à l’Elysée »
Ligue des droits de l’Homme (LDH),
ActionAid France,
Amis de la Terre France,
APF France handicap,
Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (L’Acort),
Association de promotion des cultures du voyage,
Association des Familles des Prisonniers et Disparus Sahraouis (AFAOREDESA),
Association des femmes de l’Europe méridionale (Afem),
Attac France,
La Cimade,
Coalition libertés associatives,
Collectif Chabatz d'entrar de la Haute-Vienne,
Collectif Ivryen de Vigilance Contre le Racisme (CIVCR),
Collectif Front populaire écologique,
Collectif national pour les droits des femmes (CNDF),
Collectif les Outils du soin, Collectif pour l'avenir des foyers (Copaf),
Collectif Unis pour le climat,
Comité pour le respect des libertés et des droits de l'Homme en Tunisie (CRLDHT),
Confédération générale du travail (CGT),
Education World 86,
Fasti,
Fédération des Conseils de Parents d'Elèves (FCPE),
Fédération des mutuelles de France,
Fédération syndicale unitaire (FSU),
Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR),
France Amérique Latine (Fal),
Fédération syndicale étudiante (FSE),
Greenpeace France,
Groupe accueil et solidarité (Gas),
Marche Mondiale des Femmes France,
Memorial 98,
Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples (Mrap),
Mouvement national lycéen (MNL),
Observatoire national de l’extrême-droite,
Oxfam France,
Planning familiale,
Progressistes LGBT+,
Renonciation Anticipée à l'Action en Réduction (RAAR),
Réseau Euromed France (Ref),
Solidarité Laïque,
SOS Racisme,
Syndicat des avocats de France (Saf),
Syndicat de la magistrature (SM),
Tous Migrants,
Union juive française pour la paix (UJFP),
Union nationale des étudiants de France (Unef),
Union syndicale Solidaires,
Vigilance et initiatives syndicales antifascistes (Visa),