Dans la liminaire du Groupe de travail du 4 mars, Solidaires Finances Publiques a de nouveau porté le fait de pouvoir échanger en national sur les futures conditions de travail des collègues des services éditiques (travail en équipe, horaires, congés, périodes rouges…).
La DG a réaffirmé que le règlement qui allait s’appliquer serait uniquement celui de Meyzieu, et rien que celui de Meyzieu… que ce fait avait été accepté par les agents et qu’il n’avait pas le temps d’en discuter en national ! (même pas une demi-journée…). Le président a donc renvoyé tous les éventuels problèmes de fonctionnement au niveau local. À ses yeux, la mise en place d’un régime indemnitaire « avantageux » est la contrepartie des futures contraintes inhérentes en termes de régime horaire et de travail en équipe, et à ce titre aucune évolution ou discussion n’est possible sur ses sujets…
Seule ouverture, la possibilité (encore très très floue) de ne recourir qu’à une seule équipe lors des périodes basses ou de faibles activités. Sur les départs à la retraite qui vont particulièrement toucher le service de Nemours dans les prochaines années, le président s’est montré très rassurant affirmant sereinement que dans le « pire des cas » on trouvera des contractuels « très bien » dans la région pour faire tourner le service.
Toujours sur Nemours, un nouveau bâtiment va voir le jour pour héberger le service éditique et les agents du bâtiment actuel, l’ancien bâtiment étant restitué aux Domaines.
Bien entendu, le positionnement de la Direction générale et le refus manifeste et assumé d’échanger sur les futures conditions de travail des agents de l’éditique ne sont pas satisfaisants ! Solidaires Finances Publiques continue à exiger un groupe de travail spécifique sur le sujet, afin que les agents puissent exprimer et faire valoir leurs questions et leurs positions.
Solidaires Finances Publiques appelle donc tous les agents de continuer à se mobiliser afin de faire entendre leurs voix et leurs droits.