Nul ne l'ignore, la DGFiP est en plein bouleversement. Les suppressions d'emplois décidés par le parlement sur proposition du gouvernement comme les évolutions du paysage institutionnel (régionalisation, fusions de communes, redécoupage des intercommunalités, réforme de cartes judiciaires ou des hôpitaux...) provoquent les restructurations (ASR) et autre transferts de missions que nous vivons.
Depuis le 12 septembre, date de la première journée de mobilisation contre les ordonnances Macron sur le Code du travail, la contestation contre les orientations politiques du gouvernement en place s'amplifie. Les actions se multiplient, dans les entreprises et dans les administrations.
Sous l'impact combiné des suppressions d'emplois et des évolutions du paysage institutionnel, la DGFiP et ses personnels subissent de multiples restructurations (ASR), fermetures et autres transferts de missions, dans un mouvement de concentration de plus en plus fort.
Le groupe de travail mutation qui prévoit le dynamitage des règles de mutation s'est ouvert le 19 octobre.
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