Depuis sa création en 2008, le réseau de la DGFiP a été considérablement amputé. À l’instar de l’ensemble des collègues, les cadres constatent au quotidien la dégradation des missions de service public dont ils ont la charge et l’augmentation continue des charges de travail. Dans toute organisation rationnelle, après avoir délibéré et arrêté les fins, l’on adapte les moyens. Au sein de l’État et en particulier à la DGFiP, la perspective est inversée. Les moyens humains et matériels sont contraints a priori. Et il revient à l’administration d’adapter les missions.
Depuis des années, la DGFiP connaît des transformations de fond et de forme concernant nos missions et structures : restructurations incessantes, Nouveau Réseau de Proximité, fusions à tour de bras, fermetures de structures, création de méga-structures, dématérialisation à marche forcée...
L’Action sociale ministérielle est essentielle à la vie quotidienne des agentes et des agents de la DGFiP. Nous sommes toutes et tous concernés, que l’on soit en activité ou à la retraite.
L’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes à la DGFiP, et plus largement au MEFSIN, est un sujet essentiel. Contrairement aux idées reçues, le statut du fonctionnaire ne garantit pas l’égalité en matière de déroulé de carrière, de rémunération ou encore de montant de pension.