Pour cette deuxième convocation du CSA de réseau du 29 septembre, Solidaires Finances Publiques, dans ses propos liminaires, relaie les inquiétudes des agentes et agents de la DGFiP, notamment sur les suppressions de postes envisagées par les pistes budgétaires austéritaires, la charge de travail (avec un focus sur les missions amendes et les services RH) et la réforme des PCE.
[Déclaration intersyndicale Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques et FO DGFiP] Ce lundi 29 septembre est convoqué un CSA de réseau. Le climat d’instabilité politique entretenu par la poursuite de politiques d’austérité massivement rejetées par la population et par les fonctionnaires se poursuit même si les orientations budgétaires présentées par le dernier gouvernement le 15 juillet ont précipité sa chute.
Au regard du contexte dramatique que les collectifs de la DGFiP vivent actuellement avec un nombre d'actes suicidaires en augmentation particulièrement inquiétante, Solidaires Finances Publiques a donc exigé de l'administration que des réflexions sur le travail s'engagent afin de mettre en place des actions concrètes sur l'organisation du travail.
Ce CSAR du 7 juillet était pour Solidaires Finances Publiques d'importance. Non pas au vu de son ordre du jour puisque pour leur très grande majorité les points étaient "pour information". Mais c'est pour Solidaires Finances Publiques l'occasion de rappeler à la Direction Générale le quotidien des agentes et agents que nous représentons comme les inégalités de traitement des personnels quand on permet aux directions locales de faire ce qu'elles veulent ou le mal-être grandissant des agentes et agents.