Emmanuel Macron l'a réitéré, il souhaite changer le pays et il le prouve depuis son élection. Pour les fonctionnaires, c'est tangible. Ils ont été maltraités lors de la précédente mandature. Ils seront laminés par celle qui s'engage.
C'est un choix politique fort qui n'épargnera personne à la DGFIP.
Prises indépendamment les unes des autres, les différentes mesures d'évolution des règles qui président à la mobilité fonctionnelle et géographique des agentes et des agents de la DGFiP :
peuvent paraître séduisantes à certains
peuvent paraître ne concerner que celles et ceux qui souhaitent bouger
peuvent paraître un simple retour aux règles de l'ex-DGCP.
Les règles de mutations géographiques et fonctionnelles des agents et agentes de la DGFiP ont été discutées au moment de la fusion. À l'époque, un processus de concertation avait été mis en place et avait démarré par un état des lieux de l'existant.
Nul ne l'ignore, la DGFiP est en plein bouleversement. Les suppressions d'emplois décidés par le parlement sur proposition du gouvernement comme les évolutions du paysage institutionnel (régionalisation, fusions de communes, redécoupage des intercommunalités, réforme de cartes judiciaires ou des hôpitaux...) provoquent les restructurations (ASR) et autre transferts de missions que nous vivons.
Page 297 sur 309