D'après les derniers chiffres, à l'instar de la situation générale du pays, l'épidémie semble marquer un fléchissement. Elle demeure toutefois sur un plateau élevé. Nous ne sommes pas encore à un stade de recul massif en tout état de cause.
En préambule le DG a fait le point sur les sujets suivants :
Garde d’enfant : une ASA spéciale existe, mais la DG pousse au télétravail !
Le 31 mars, la DG par le biais du bureau RH1A diffusait une note au réseau sur les dispositifs et ASA auxquels les agents et agentes ont droit dans le cas où la classe de leur enfant fermerait en raison du dépistage d’un cas au moins d’un enfant testé positif à la Covid.
Comme souvent, le diable est dans les détails et la formulation :
"Les agents devant assurer la garde de leur enfant en raison de la fermeture de leur établissement d'accueil / classe / section ou lorsque leur enfant est identifié en tant que «cas-contact» par l'Assurance Maladie, sont placés en autorisation spéciale d'absence COVID (ASA CA 030) lorsque le télétravail n'est pas possible".
Mais qui détermine que le télétravail n’est pas possible : le chef de service ou les parents ?
Jeudi dernier, les annonces d'Emmanuel Macron, incluaient, entre autres, la concordance des dates de vacances de printemps, quelle que soit la zone, du samedi 10 avril au dimanche 25 avril. Nous avons publié un article, dans lequel nous nous interrogions sur les conséquences sur la date limite de dépôt des jours de congés 2020 reportés en 2021.
Tel un chat échaudé craignant l'eau froide, mieux valait alerter les agents et agentes concernées (zone 2 et 3) et s'assurer que cela ne donnerait pas lieu à interprétations, selon les directions.